© Enrico Petraglio

Bécasseau cocorli Calidris ferruginea

Splendide dans sa robe rougeâtre au printemps, il est plus discret en automne, se rapprochant fortement des teintes grisâtres du bécasseau variable. Noter le long bec courbé. Plus d’infos

© Christophe Sahli

Bécasseau minute Calidris minuta

Ce bécasseau est le plus petit de sa famille en Europe. Il se distingue notamment par ses bretelles claires dans le dos, et ses teintes orangées. Plus d’infos

© Christophe Sahli

Bécasseau maubèche Calidris canutus

Ce grand bécasseau est très rare dans notre pays. La majorité des individus observés sont des jeunes nés durant l’été, lors de leur migration d’automne. Plus d’infos

© Mathieu Bally

Bécasseau sanderling Calidris alba

Ceux qui ont visité les côtes du nord de l’Europe se souviennent surement des troupes de bécasseaux sanderlings allant et venant au rythme des vagues sur les plages. Plumage internuptial. Plus d’infos

© Mathieu Bally

Bécasseau de Temminck Calidris temminckii

L’un des moins communs de nos visiteurs. Légèrement plus petit que le bécasseau variable, et plus uniformément brun sur le dos, avec le ventre blanc. Le bec est court et les pattes verdâtre. Plus d’infos

© Christophe Sahli

Bécasseau variable Calidris alpina

Ce petit bécasseau est l’un des limicoles les plus communs dans notre pays. Il est le seul bécasseau qui porte des taches noirs sur le ventre. Plus d’infos

© Enrico Petraglio

Chevalier aboyeur Tringa nebularia

Très grand limicole, aux pattes jaunes et au long bec, légèrement recourbé vers le haut. Facilement identifiable à son chant fluté de 3-4 notes. Plus d’infos

© Enrico Petraglio

Chevalier arlequin Tringa erythropus

Cet élégant chevalier, au long bec très fin, arbore un plumage entièrement sombre en période de nidification. En automne, il est plus discret et semblable au chevalier gambette, ce qui peut prêter à confusion! Plus d’infos

© Enrico Petraglio

Chevalier culblanc Tringa ochropus

L’un des visiteurs les plus précoces du printemps. Son manteau foncé et le sourcil clair ne dépassant pas l’œil le distinguent du chevalier sylvain. Plus d’infos

© Enrico Petraglio

Chevalier gambette Tringa totanus

Le souvenir de ses pattes flamboyantes marque les esprits. Le chevalier gambette figure parmi les limicoles communs dans notre pays, et ses appels flutés en font aussi l’un des plus démonstratifs. Plus d’infos

© Enrico Petraglio

Chevalier guignette Actitis hypoleucos

Petit chevalier au corps trapu, agitant sans cesse l’arrière du corps comme un pendule. La marque blanche remontant juste devant l’épaule et le gris de la poitrine s’arrêtant net sont de bons signes distinctifs. Plus d’infos

© Enrico Petraglio

Chevalier sylvain Tringa glareola

L’un des limicoles communs du début de l’automne. Reconnaissable à son sourcil continuant au delà de l’oeil, à ses pattes jaunâtres et au motif d’échiquier sur son dos, plus clair que celui du chevalier culblanc.  Plus d’infos

© Christophe Sahli

Combattant varié Calidris pugnax

Grand chevalier au spectaculaire plumage nuptiale (très rarement vu dans ce plumage en Suisse). Le bec très court proportionnellement à sa taille lui donne une silhouette différente des autres grands limicoles. Grande différence de taille entre les sexes, les femelles étant parfois presque deux fois plus petites que leurs homologues masculins. Plus d’infos

© Enrico Petraglio

Grand Gravelot Charadrius hiaticula

Petit limicole au corps trapu et au bec très court. Chez l’adulte, le orange vif de ses pattes et de son bec le distinguent facilement du petit gravelot. Chez le plumage juvénile, la distinction nécessite un examen plus attentif. Plus d’infos

© Christophe Sahli

Petit Gravelot Charadrius dubius

Plus petit que son homologue le grand gravelot, le petit gravelot se reconnait aussi grâce à son tour de l’œil orange et son bec entièrement sombre. Plus d’infos

© Christophe Sahli

Échasse blanche Himantopus himantopus

Immédiatement identifiable à la longueur démesurée de ses pattes, l’Échasse blanche est aussi l’un des limicoles les plus élégants qui existe. Plus d’infos

© Enrico Petraglio

Pluvier argenté Pluvialis squatarola

Grand et robuste limicole à bec court, peu commun en Suisse. En vol, on peut le reconnaitre facilement à ses « aisselles » noirs. Plus d’infos

© Enrico Petraglio

Pluvier doré Pluvialis apricaria

D’une rare beauté en plumage nuptial avec son ventre entièrement noir, cet habitant de la tundra ne passe chez nous en principe que durant les mois d’hiver. Plus d’infos

© Christophe Sahli

Bécassine des marais Galinago galinago

Limicole doté d’un camouflage extraordinaire et d’un très long bec droit, la bécassine des marais est l’un des oiseaux les plus abondants que l’on puisse observer sur ce site, surtout en novembre. Plus d’infos

© Christophe Sahli

Bécassine sourde Lymnocryptes minimus

Son nom de « sourde » vient de sa grande confiance dans son camouflage, ne s’envolant parfois qu’à quelques centimètres du passant. Elle est légèrement plus petite que la bécassine des marais, et possède un bec plus large et plus court. Elle est également bien plus rare. Plus d’infos

© Enrico Petraglio

Vanneau huppé Vanellus vanellus

Spectaculaire limicole aux couleurs vert irisées et à la huppe bien marquée. Son chant et ses cris étonants sont l’une de ses caractéristiques. C’est aussi l’un des rares limicoles nichant en Suisse, grâce à l’application de mesures de protection dédiées. Plus d’infos

© Enrico Petraglio

Barge rousse Limosa lapponica

Championne des migrations de longue distance, la barge rousse se distingue par son très long bec recourbé vers le haut et ses teintes pêche (ou roux flamboyant en plumage nuptial, rare en Suisse). Plus d’infos

© Nicolas Dulex

Barge à queue noire Limosa limosa

Très grand limicole au long bec, très légèrement recourbé vers le haut. Elle se distingue de la barge rousse, par ses teintes plus orangée, et surtout par ses plus longues pattes qui lui donnent une allure élancée. Plus d’infos

© Enrico Petraglio

Bécasseau tacheté Calidris melanotos

Ce grand bécasseau est extrêmement rare dans notre pays. Nichant dans l’extrême nord de la tundra russe et en Amérique du nord, ses terres d’hivernage se situent majoritairement en Amérique du sud et en Asie du sud. Deux jeunes individus ont été observé en automne 2022 sur le site inondé. Plus d’infos

© Mathieu Bally

Tournepierre à collier Arenaria interpres

Petit limicole bariolé, au bec très court et aux pattes oranges. Comme son nom l’indique, il parcourt plages et zones inondées en soulevant les galets en quête de nourriture. Plus d’infos

© Christophe Sahli

Courlis corlieu Numenius phaeopus

Grand limicole au bec très courbé, relativement peu commun en Suisse. Il se différencie du courlis cendré par sa plus petite taille et le motif contrasté de sa tête (sourcil clair, et calotte sombre avec trait médain clair). Plus d’infos

© Mathieu Bally

Avocette élégante Recurvirostra avosetta

Tout de blanc et noir vêtue, l’avocette élégante est immédiatement reconnaissable à son bec très recourbé vers le haut et à ses longues pattes bleuâtres. C’est un de nos limicoles peu communs, seuls quelques migrateurs s’arrêtant en Suisse chaque année. Plus d’infos